Vous devez prendre ici une décision cruciale pour la sécurité de
votre système GNU/Linux : vous devez entrer un mot de
passe root
. L'utilisateur
root
est l'administrateur du système qui a
tous les droits d'accès aux fichiers de configuration, etc. Il
est donc impératif de choisir un mot de passe difficile à
deviner (pensez aux systèmes prévus à cet effet qui anticipent
les combinaisons communes des utilisateurs).
DrakX vous avertira si le mot de
passe entré est trop facile à deviner. Selon le niveau de
sécurité choisi, il est également possible de ne pas entrer de
mot de passe, mais nous déconseillons
fortement cette pratique. Comme l'erreur est
humaine, un utilisateur avec tous les droits peut tout détruire
sur votre système, c'est pourquoi il ne doit pas être trop
facile de devenir root.
Le mot de
passe choisi devrait contenir au moins 8 caractères
alphanumériques. N'écrivez jamais le mot de passe de l'utilisateur
root
, apprenez-le par coeur.
Ne choisissez pas de mot de passe trop long ou trop compliqué, ménagez accessibilité et mémoire : un mot de passe de 30 caractères est presque impossible à mémoriser.
Afin d'éviter les regards indiscrets, le mot de passe n'apparaîtra pas à l'écran. Il vous faudra donc l'inscrire deux fois pour éviter les erreurs de frappe.
Vous pouvez changer la façon dont les utilisateurs de votre système s'authentifient en cliquant sur le bouton . Voici les différentes méthodes disponibles :
Fichier local. Utilise un fichier local pour toutes les authentifications et la récupération des informations utilisateur. C'est la méthode par défaut.
LDAP. Utilise un serveur LDAP pour quelques ou toutes authentifications. Un répertoire LDAP regroupe certains types d'informations au sein de votre organisation.
NIS. Authentifie les utilisateurs par un domaine NIS. Ceci vous permet de faire fonctionner un groupe d'ordinateurs sur le même domaine NIS, avec un fichier de groupe et un mot de passe commun.
Domaine Windows . Utilise un contrôleur de domaine Windows® pour l'authentification, via l'Active Directory, soit la mise en oeuvre LDAP de Microsoft.
Si vous choisissez une autre méthode que le Fichier local, vous devrez fournir certaines informations, qui varient d'une méthode à l'autre. En cas de doute, demandez à votre administrateur réseau.